Nous avons la tristesse de vous annoncer la disparition de notre collègue Marie-Jo.
Son sourire, son enthousiasme, son dynamisme et sa force vont nous manquer.
Toutes nos pensées vont à sa famille et à ses proches.
Et comme Marie-Jo n'était pas du genre à se laisser abattre, nous conclurons sur ce poème de Blaise Cendras qu'elle avait lu au cours d'une de ses brigades d'intervention poétique :
"Je ris
Je ris
Tu ris
Nous rions
Plus rien ne compte
Sauf ce rire que nous aimons
Il faut savoir être bête et content"